L’AsPro sur un nuage !
80, 100, 130,….161 adhérents en janvier dernier ! l’AsPro ne cesse de grossir et l’on se demande bien jusqu’où cela va aller.
Les raisons ? La bonne ambiance bien sûr, la qualité des rassemblements mais surtout le " cloud ".
Et oui, notre bonne vieille association n’y échappe pas, le " cloud computing " s’y est installé : XML Javascript, applets en tous genres ont progressivement fleuri sur notre site web pour le plus grand plaisir des internautes. La petite bande de copains s’est progressivement transformée en un véritable réseau social ne lâchant le clavier que pour prendre la barre.
Aujourd’hui, grâce à ce dispositif nul ne peut ignorer l’AsPro : une question sur le Blue-Djinn ? Une simple requête sur un moteur de recherche et l’on accède au site où l’on trouve une mine d’informations ; une adhésion et l’on accède au chat d’où on obtient bien plus de renseignements qu’en se promenant sur les pontons.
Bien sûr cette nouvelle dimension n’est pas sans poser quelques tracasseries d’organisation : sauf à passer à des rassemblements virtuels, notre traditionnelle manifestation annuelle va sans doute devoir évoluer. Limitée en nombre de participants pour des raisons évidentes de sécurité et de logistique elle ne pourra plus accueillir tous les candidats. Alors rassemblements géographiques ? A thème ? Bourse aux navigations ? Assurément voilà de quoi alimenter sérieusement notre groupe de discussion !
Dans ce contexte de forte évolution, un élément semble traverser les époques sans prendre de rides : la BAM qui a su s’adapter progressivement, par petites touches pour le plus grand plaisir des adhérents qui attendent toujours la prochaine parution avec beaucoup d’impatience.
Chaque édition a son lot de nouveautés et la présente ne déroge pas à la règle, jugez plutôt et découvrez :
–Les tribulations de Le Verdon et Nostria sur " la grande bleue ".
– le programme du rassemblement d'Ars en Ré
– Le Vendée Globe Virtuel
Alors embarquons sur le nuage, munissons nous de la BAM et laissons nous bercer par nos rêves.
Miche FILLIT